SOPHIE ET FRANCOIS: LE CARNET DE VOYAGES

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Dernière mise à jour de cette page: 06/11/2013
LA NAVETTE SPATIALE

La Navette spatiale (Space Shuttle, en Anglais) est un vaisseau spatial composé de 3 éléments, dont certains sont réutilisables pour des vols ultérieurs:
  • Le réservoir central, rempli d'hydrogène et d'oxygène liquides. Il est largué en orbite basse, et est détruit lors de son retour sur terre;
  • Les propulseurs d'appoint (boosters), remplis de comburant et carburant en poudre. Ils sont largués après 2 minutes de vol, à 45 km d'altitude, freinés par parachutes, et réutilisés;
  • L'Orbiter, sorte d'avion qui embarque la charge utile, l'équipage, et les moteurs de propulsion principaux. L'Orbiter atterrit comme un avion et est réutilisable.

    L'ensemble de ces 3 éléments est nécessaire à l'accomplissement d'une mission. Il est nommé STS, ce qui signifie Space Transportation System.
    Par extension, le terme STS désigne aussi la mission elle-même. Chaque mission reçoit un numéro: STS-1 était le tout premier vol d'essai (1981), STS-107 est le nom de la mission au cours de laquelle l'Orbiter Columbia fut détruit en vol (2003).

    Dans le menu situé à gauche de votre écran, n'oubliez pas de visiter la page consacrée au tir de la navette STS-84, auquel nous avons assisté en direct !
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    Un des pas de tir.
    On distingue nettement le réservoir central et un booster à poudre.
    Mais où est donc l'Orbiter ?

    Le cliché a été pris avec une focale de seulement 200 mm, lors d'une visite ordinaire du centre spatial: on est vraiment très près !
    Une maquette d'Orbiter à l'échelle 1, appelée Explorer, est exposée au public.
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    Une vue rapprochée sur le nez de l'appareil. On distingue très nettement le dispositif d'asservissement en assiette de proue (RCS): il développe de petites poussées, permettant de faibles modifications de vitesse en orbite ainsi que le contrôle du roulis, du tangage et du lacet.

    On distingue aussi nettement les tuiles du revêtement de protection thermique: lors de la phase de rentrée dans l'atmosphère, certaines zones atteignent une température de l'ordre de 1400°C, en raison de la friction avec l'air. La défaillance de ce dispositif fut à l'origine de l'explosion en vol de l'Orbiter Columbia en 2003.
    Poste de pilotage.
    A gauche, le siège du commandant, à droite, celui du pilote.
    Entre eux, l'ordinateur de bord.
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